De grands journalistes nous
parrainent De grands journalistes nous
parrainent
« L'Asie que j'abordais était une immense plaie ouverte. Celle où vous allez pénétrer est un prodigieux chantier. Soyez lucides (plus que moi). Soyez généreux, ce qui est la clé de tout. Soyez heureux, ce qui est la fin de tout. J'aime vous souhaiter un bon voyage. Mes amitiés aux deux milliards d’Asiatiques. »
« La seule caution que je puisse donner à votre grand projet serait que vous m’autorisiez à me joindre à vous. »
« Je vous encourage vivement et je vous souhaite la plus grande réussite dans ce qui est le privilège de la jeunesse : la découverte de l’inconnu. »
« Le journalisme, c’est d’abord cela, l’envie d’aller voir et de raconter, avec ce qu’il faut d’humilité et d’orgueil, de volonté et de curiosité. Le passé de l’un et de l’autre est prometteur. Et je souhaite être l’un de vos premiers lecteurs. »
« Bravo ! Cette capacité d’imagination et d’initiative manque cruellement dans notre profession. Trop de candidats journalistes se contentent d’attendre les opportunités professionnelles sans comprendre que c’est d’abord d’eux-mêmes qu’elles doivent venir. Oui, vraiment, je trouve votre projet bienvenu. Soyez assurés de mon soutien, de mes encouragements et de ma sympathie. »
« Les jeunes diplômés entament souvent un parcours du combattant. Ces deux-là ont décidé de bifurquer vers les cours d’école d’Asie centrale, les préaux de Chine et les classes de Hong Kong. C’est souvent, en reportage, dans la bouche d’écoliers que l’on trouve les plus belles pépites. »
« Fasse le ciel des journalistes enthousiastes que vous trouviez le soutien dont vous avez besoin. Vous avez en tout cas le mien, tous mes encouragements et ma caution morale. De grand coeur. »
